En tant que parent, on rêve tous de voir le visage de notre enfant s’illuminer. Pas seulement d’un sourire passager, mais de cette lueur profonde qui vient de l’intérieur, ce que les anglophones appellent le « face to glow ». Cet éclat n'a rien à voir avec un soin de la peau ; il est le reflet d'un enfant qui se sent bien dans sa tête et dans son cœur.
C’est la fierté dans ses yeux après avoir réussi un puzzle, la sérénité après une journée bien remplie, ou tout simplement la joie pure de se sentir compris et en sécurité. C'est cet éclat-là, cette confiance tranquille, que nous voulons nourrir en tant que parents.
Comprendre l'éclat intérieur de votre enfant
Ce fameux « glow » est en réalité le baromètre du bien-être émotionnel de votre enfant. Un visage radieux, c’est souvent le signe d’un esprit apaisé et d’une confiance qui grandit.
La période entre 6 et 12 ans est particulièrement intense. C'est une phase de construction incroyable où se mêlent les premières amitiés complexes, les défis scolaires et la découverte de soi. C'est aussi à ce moment que les premières fissures peuvent apparaître : les doutes s'installent, les frustrations s'accumulent et cette petite lumière intérieure peut parfois vaciller.
Le journal créatif : un allié précieux pour grandir
Comment l’aider à naviguer tout ça ? C'est là qu'un outil comme un journal créatif prend tout son sens. Il offre un espace bien à lui, un jardin secret où il peut déposer ses pensées et ses émotions, sans peur d'être jugé. Au lieu de laisser la colère ou la tristesse bouillonner à l'intérieur, il apprend à les dessiner, à leur donner un nom, à les apprivoiser.
Un carnet comme My Book Story a été pensé pour être bien plus qu'un simple cahier. C’est un compagnon de route ludique qui l'invite à :
- Mettre des mots sur ses émotions : Apprendre à distinguer la joie de la fierté, ou la déception de la colère, est une compétence fondamentale pour bien se comprendre.
- Célébrer ses petites victoires : Noter qu'il a réussi à faire ses lacets tout seul ou qu'il a partagé un jouet renforce son estime de lui. Ça lui montre concrètement qu'il est capable.
- Pratiquer la gratitude : S'habituer à voir le bon côté des choses, même lors d'une journée difficile, forge un mental plus optimiste et résilient.
En donnant à votre enfant un moyen concret d'explorer son monde intérieur, vous lui offrez les clés pour faire briller sa propre lumière. C'est un cadeau inestimable, bien plus durable qu'un jouet.
Transformer les défis en tremplins
Chaque frustration, chaque "c'est trop dur", peut devenir une occasion de grandir. Quand votre enfant couche sur le papier une dispute avec un copain ou une mauvaise note, il prend du recul. Il sort le problème de sa tête pour le regarder en face, ce qui le rend tout de suite moins impressionnant. C'est le début de la résilience : cette capacité formidable à rebondir après une difficulté.
Votre rôle de parent, c'est de l'accompagner sur ce chemin. En faisant du journal un petit rituel partagé, vous ne faites pas que l'aider à grandir ; vous renforcez aussi votre lien. Vous lui montrez que ce qu'il ressent est important et qu'il a en lui toutes les ressources pour affronter les hauts et les bas de la vie. Cet accompagnement est le véritable secret pour cultiver un « face to glow » qui l'accompagnera pour toujours.
Comment faire une place au journal créatif dans votre quotidien ?
Introduire une nouvelle habitude dans le tourbillon de la vie de famille peut ressembler à une mission impossible. Pourtant, faire du journal créatif un petit rituel n'est pas une tâche de plus sur votre liste. Voyez-le plutôt comme un cadeau que vous vous faites : une parenthèse pour vous connecter, loin des écrans et des obligations.
L'idée n'est pas de viser la perfection, mais la constance. Même 10 petites minutes par jour peuvent suffire à semer des graines de bien-être qui feront une vraie différence sur le long terme. Le secret ? Trouver le créneau qui s'intègre le plus naturellement dans votre propre rythme familial.
Trouver le moment parfait
Chaque famille a sa propre musique. Pour certains, le moment idéal sera juste après l'école, pour aider l'enfant à décompresser et à déposer les émotions de sa journée. Pour d'autres, ce sera un rituel apaisant avant d'aller au lit, parfait pour calmer les esprits et préparer une bonne nuit.
Quelques pistes pour vous aider à trouver votre moment :
- Après le goûter : Un temps calme pour exprimer ce qui s'est passé à l'école, avant de passer aux devoirs ou aux jeux.
- Pendant que vous préparez le repas : Une activité autonome qui occupe votre enfant de manière créative et positive.
- Le week-end : Un moment plus long, où vous pouvez vous installer côte à côte, chacun avec son carnet, et partager ce temps de création.
Le plus important est que ce rendez-vous devienne prévisible et attendu. Comme l'histoire du soir ou le câlin du matin, le journal devient un repère rassurant dans la routine de votre enfant.
Présenter le journal comme un trésor
Votre façon de présenter le journal My Book Story va tout changer. Oubliez l'idée du "devoir". Faites-en un jeu, un passeport pour l'imagination, un espace secret rien qu'à lui. Expliquez-lui que c'est son jardin secret, un endroit où toutes ses idées, même les plus folles, ont le droit d'exister sans jugement.
L'approche doit rester ludique. Le but n'est pas de lui demander de « travailler » sur ses émotions, mais plutôt de jouer avec elles, de les dessiner, de leur inventer des histoires. C'est comme ça que l'expression de soi devient un plaisir, pas une contrainte.
Cette démarche de prendre soin de son éclat intérieur va à contre-courant d'une société très axée sur l'apparence. À titre de comparaison, le marché des soins du visage en France représente 1,36 milliard d’euros (source : modelesdebusinessplan.com). Cela montre à quel point la quête d'un face to glow extérieur est ancrée dans nos habitudes. Pourtant, l'éclat le plus authentique, celui qui illumine vraiment un visage, vient de l'intérieur. Il se nourrit de moments de créativité et de confiance, bien plus précieux qu'un soin en institut.
Au final, en instaurant ce petit rituel, vous ne lui apprenez pas seulement à remplir un carnet. Vous lui enseignez à s'écouter, à donner de la valeur à ce qu'il ressent et à trouver en lui les ressources pour s'épanouir. Ce temps de qualité renforce votre lien, nourrit son autonomie et cultive cet éclat intérieur qui illuminera son visage pour longtemps.
Accompagner votre enfant page après page
Votre enfant a son journal My Book Story entre les mains, prêt à commencer une exploration passionnante de son monde intérieur. Votre rôle ? Celui d'un guide bienveillant, d'un co-pilote. L'idée n'est surtout pas de faire les choses à sa place, mais de créer un moment de partage, un espace sûr où il peut apprendre à mettre des mots ou des dessins sur tout ce qui se passe en lui.
Imaginez ce parcours comme une randonnée en famille. Parfois, le sentier est plat et ensoleillé. D'autres fois, ça grimpe un peu. Votre présence le rassure, vous lui tenez la main quand c'est nécessaire, mais surtout, vous admirez avec lui les paysages qu'il découvre en chemin.
Mettre des mots sur les émotions
La première étape, et sans doute la plus importante, est d'aider votre enfant à identifier ce qu'il ressent. C'est le but de la page de gauche du journal, avec ses petites icônes d'émotions à entourer. C'est un point de départ fantastique pour démarrer la conversation.
Par exemple, s'il entoure le visage en colère, évitez le classique "pourquoi es-tu en colère ?". Essayez plutôt des questions plus ouvertes, plus imagées :
- "Tiens, j'ai l'impression que cette colère ressemble à un gros orage. À quoi ressemble la tienne ?"
- "Si ta colère était un super-héros ou un monstre, qui serait-elle aujourd'hui ?"
- "Tu la ressens où, cette colère ? Dans tes mains qui serrent ? Dans ton ventre qui gargouille ?"
Ces questions transforment une émotion abstraite en quelque chose de plus concret, de moins effrayant. Votre enfant comprend que les émotions sont comme des visiteurs : elles arrivent, puis elles repartent. Et il a le droit de toutes les ressentir. C'est un apprentissage essentiel pour cultiver ce fameux face to glow, ce rayonnement qui vient de l'intérieur.
Célébrer les petits bonheurs et la gratitude
Chaque jour, le journal propose à votre enfant de noter "un moment heureux". C'est un exercice incroyablement puissant pour muscler son optimisme. On a tous tendance, petits et grands, à se concentrer sur ce qui n'a pas fonctionné. Cette petite section est là pour inverser la vapeur.
Au début, il aura peut-être du mal à trouver quelque chose. Ce n'est pas grave ! Aidez-le en lui remémorant des moments tout simples de sa journée :
- Le fou rire pendant le repas du soir.
- Le gros câlin avant de partir à l'école.
- Le moment où il a enfin réussi à construire sa tour de Lego sans qu'elle ne s'écroule.
- Un rayon de soleil qui a illuminé la cour de récré.
Votre rôle est de donner de la valeur à ces "petits riens". En vous émerveillant avec lui de ces petites joies, vous lui montrez que le bonheur se cache dans les détails du quotidien. C'est cette collection de moments positifs qui nourrit sa confiance et illumine son visage.
Explorer les grands thèmes ensemble
Le journal est structuré autour de grands thèmes comme les rêves, l'amitié, ou le courage de se relever après un échec. Chaque thème est une nouvelle porte qui s'ouvre, une invitation à discuter et à l'aider à mieux se comprendre.
Prenons le thème de l'amitié. S'il dessine une dispute avec son meilleur copain, c'est une occasion en or pour l'aider à développer des compétences sociales. Vous pourriez lui demander : "À ton avis, comment ton ami s'est senti à ce moment-là ?" ou encore "Quelle serait une chouette façon de lui montrer que tu tiens à lui, même si vous vous êtes fâchés ?".
Le secret, c'est de garder une approche légère et curieuse, jamais intrusive. Ce n'est pas un interrogatoire. Vous n'êtes pas là pour trouver la "bonne réponse", mais pour l'accompagner dans sa propre réflexion. C'est en développant son intelligence émotionnelle qu'il apprendra, petit à petit, à naviguer dans ses relations avec plus d'assurance et de sérénité.
Trouver la bonne posture de parent-guide
Dans cette aventure, votre rôle est bien plus que celui d'un simple superviseur. Vous êtes un véritable guide, un facilitateur. L'idée n'est pas de contrôler ce que votre enfant écrit ou dessine, mais de créer une bulle de confiance où il se sentira totalement libre de s'exprimer, sans crainte d'être jugé.
C’est cette posture bienveillante qui est la clé de tout. Elle permet à l'enfant de s'approprier le journal et d'en faire un outil puissant pour son face to glow, cet éclat qui vient de l'intérieur quand on se sent bien avec soi-même. Votre propre sérénité l'aidera à s'ouvrir.
Pratiquer une écoute active, sans jamais juger
Quand votre enfant décide de vous montrer une page de son journal, c’est une marque de confiance immense. Votre mission, si vous l’acceptez ? L’écouter pour de vrai. C’est ce qu’on appelle l’écoute active : chercher à comprendre ce qu’il ressent, pas à lui donner une leçon ou à corriger son travail.
Laissez de côté vos propres interprétations. Résistez à l’envie de donner un conseil tout de suite. Le mieux est de poser des questions ouvertes, qui l'invitent à aller plus loin dans sa propre réflexion :
- « Oh, c’est intéressant ce dessin ! Qu’est-ce qu’il raconte pour toi ? »
- « Comment tu t’es senti en écrivant ça ? »
- « Et maintenant que c'est sur le papier, ça te fait quoi ? »
Avec cette approche, vous validez ses émotions. Vous lui montrez que ce qu’il ressent est important et tout à fait légitime.
Valoriser l'effort, pas la perfection
Le journal n'est pas un contrôle de français. Il n'y a pas de « bonne » ou de « mauvaise » réponse. Une faute d'orthographe, un dessin qui dépasse, une phrase un peu bancale… tout ça, c’est la vie ! Ça fait partie du processus.
Votre rôle est de célébrer le courage qu’il a eu de s’exprimer, pas la qualité du résultat. Un simple « J'adore comment tu as utilisé toutes ces couleurs pour montrer ta joie » aura beaucoup plus d’impact qu’un « C’est très joli ».
En mettant l’accent sur le processus et non sur la perfection, vous lui faites passer un message essentiel : sa valeur ne dépend pas de ses réussites, mais de qui il est. C’est un pilier de la confiance en soi.
Ce guide visuel illustre les premières étapes du parcours avec le journal, montrant comment l'enfant progresse semaine après semaine.
Chaque étape est une nouvelle pierre ajoutée à l'édifice : apprendre à s'ouvrir, à exprimer ce qu'on ressent, et enfin, à célébrer ses propres succès.
Un outil précieux pour la salle de classe
Pour les enseignants, intégrer un carnet comme le journal My Book Story peut vraiment changer l'ambiance d'une classe. C'est une occasion en or de travailler sur les compétences socio-émotionnelles, qui sont aussi importantes que les maths ou l'histoire.
Prendre 10 petites minutes chaque matin, ou après une récréation un peu agitée, pour que chacun se connecte à son journal peut avoir des effets très positifs :
- Apaiser le climat de la classe : Offrir un espace pour vider son sac aide à faire baisser la pression et à réduire les petits conflits.
- Développer l'empathie : On peut imaginer des activités de groupe basées sur les thèmes du journal pour que les élèves apprennent à mieux se comprendre.
- Personnaliser l'accompagnement : Les écrits (lus uniquement avec l'accord de l'enfant, bien sûr) peuvent révéler des informations précieuses sur les besoins de certains élèves.
Que vous soyez parent ou enseignant, en adoptant cette posture de guide, vous faites bien plus qu'aider un enfant à remplir un carnet. Vous lui apprenez à s'écouter, à se faire confiance et à cultiver sa propre lumière.
Vous allez voir, les bienfaits sont bien réels
Après plusieurs semaines à cheminer avec votre enfant et son journal créatif, vous commencerez à voir des changements. D'abord subtils, puis de plus en plus évidents. Le fameux face to glow, ce n'est pas juste un grand sourire ; c'est cette petite lumière dans les yeux qui trahit un enfant bien dans ses baskets, plus solide intérieurement.
Soyons clairs : ce n'est pas magique. Ces progrès s'installent petit à petit, mais de manière durable. Vous verrez une transformation qui dépasse largement les pages du carnet.
Avant et après : le pouvoir de l'intelligence émotionnelle
Pour mieux saisir ce qui se passe, imaginez des situations que tous les parents connaissent.
Avant le journal : Une petite frustration à l'école se transformait facilement en crise de larmes ou en colère une fois à la maison. Souvent, vous ne saviez même pas ce qui avait mis le feu aux poudres. Votre enfant peinait à trouver les mots, se contentant d'un « je suis fâché » ou « je suis triste ».
Après quelques semaines : Face à la même contrariété, il arrive maintenant à mettre des mots dessus. Il pourrait vous dire : « Je suis déçu parce que mon ami n'a pas voulu jouer avec moi aujourd'hui ». Rien que ça, cette capacité à nommer son émotion, ça change tout. La crise laisse place à une discussion, et on peut enfin trouver des solutions ensemble.
L'idée n'est pas de faire disparaître les émotions désagréables. C'est de donner à votre enfant les outils pour les accueillir et les comprendre. Il apprend à surfer sur les vagues, au lieu de se laisser emporter par elles.
De la timidité à une confiance qui grandit
Les effets se voient aussi dans sa vie de tous les jours, à l'école comme avec ses copains. En célébrant ses petites victoires quotidiennes dans son journal, il nourrit son estime de soi, et ça se propage partout.
- À l'école : Un enfant qui n'osait pas lever la main par peur de se tromper pourrait commencer à participer un peu plus.
- Avec ses amis : Il osera peut-être dire plus facilement ce qu'il veut ou ce qu'il ne veut pas, comme refuser un jeu qui ne l'intéresse pas.
- À la maison : Attendez-vous à le voir prendre plus d'initiatives et être fier de ce qu'il accomplit seul, même les petites choses.
Tous ces changements sont le signe que son dialogue intérieur est devenu plus positif. Page après page, il a appris à reconnaître sa propre valeur. Le face to glow que vous observez sur son visage, c'est tout simplement le reflet de cette nouvelle assurance. C'est la preuve que vous l'avez aidé à construire quelque chose de solide et de durable.
On répond à vos questions sur le journal créatif
C'est tout à fait normal de se poser des questions quand on se lance dans une nouvelle aventure avec son enfant. Vous lui offrez un cadeau incroyable, mais il est naturel d'avoir quelques doutes en chemin. Rassurez-vous, on est là pour vous éclairer.
Et si mon enfant ne veut pas écrire ?
Ah, la fameuse angoisse de la page blanche ! C'est un grand classique, surtout chez les plus jeunes. Pas de panique, le journal est avant tout un espace de liberté. Si les mots ne viennent pas, ce n'est absolument pas un problème.
L'idée, c'est de lui proposer d'autres manières de s'exprimer :
- Le dessin : Un gros monstre tout noir peut parfaitement incarner sa colère, tout comme un grand soleil jaune peut raconter sa joie.
- Le collage : Proposez-lui de feuilleter de vieux magazines. Il peut y découper des images, des couleurs, des mots qui représentent sa journée et créer une sorte de "tableau d'humeur".
- Les couleurs : Parfois, il suffit de prendre des feutres et de remplir la page avec les couleurs qui correspondent à ce qu'il ressent, sans chercher à dessiner quelque chose de précis.
Le plus important ? Ne jamais forcer. Ce moment doit rester un plaisir, une parenthèse pour lui, pas un devoir supplémentaire.
Est-ce que je dois corriger ses fautes d'orthographe ?
La réponse est un grand non. Imaginez le journal comme son jardin secret, un lieu où il peut être lui-même sans être jugé. Si vous commencez à corriger ses écrits, vous transformez ce moment de partage en un exercice scolaire. Il risque alors de se bloquer, de se concentrer sur la peur de faire des erreurs plutôt que sur ce qu'il a envie de raconter.
L'objectif ici, c'est de libérer sa parole et sa créativité. La grammaire parfaite n'a pas sa place dans ce processus. Ce qui compte vraiment, c'est de valoriser le courage qu'il a de partager ses pensées. C'est ça qui va nourrir son face to glow.
Quelle est la bonne fréquence pour que ça reste amusant ?
Ici, il n'y a pas de règle d'or. Chaque enfant est différent. Certains vont adorer y griffonner quelques mots chaque soir avant de dormir, comme un petit rituel. D'autres préféreront un rendez-vous plus ponctuel, peut-être une fois par semaine, pour faire le point sur leurs émotions.
Le secret, c'est de suivre son rythme à lui. S'il saute un jour ou deux (ou même une semaine), ce n'est pas grave du tout. L'essentiel est que le journal reste associé à un moment de détente et de bien-être, pas à une obligation.
Comment réagir s'il me confie une grosse inquiétude ?
Si votre enfant vient vers vous pour partager une peur ou un souci qu'il a écrit dans son journal, c'est une preuve de confiance immense. La toute première chose à faire, c'est de l'écouter attentivement, sans jugement. Validez ce qu'il ressent avec des phrases simples comme : "Je comprends que ça t'inquiète" ou "Merci de me raconter ça, ce n'est pas toujours facile".
Ensuite, vous pouvez l'aider à creuser un peu, mais sans jamais lui donner la solution toute faite. Demandez-lui : "Qu'est-ce qui pourrait t'aider à te sentir un peu mieux ?". Rien que le fait de savoir que vous êtes là, à ses côtés, est souvent le plus grand des réconforts.
Le journal My Book Story a été pensé justement pour ces moments de partage et de découverte. Il offre un cadre bienveillant pour que votre enfant apprenne à explorer ses émotions et à faire briller sa lumière intérieure.
Découvrez le carnet My Book Story et offrez à votre enfant un compagnon pour grandir en confiance